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Viticulture vs Apiculture

Viticulture vs Apiculture

Génération Round Up

Une affaire de bon sens

Olivier, 25 ans de métier

L’Olivier, l’homme comme l’arbre est bien enraciné, généreux et solide, c’est celui sur qui l’on peut compter. Il a dans le regard comme quelque chose de l’enfance encore qui danse. Homme de la terre, sensible à l’univers, avec un amour de la nature qui dégouline comme de la bonne confiture. Une passion née en suivant les traces de sa lignée.

On se connait depuis…40ans et pourtant j’en apprends toujours autant. J’ai voulu comprendre son chemin, celui de 25 années de viticulture, avec tous les travers de l’agriculture, les traitements phytosanitaires encore largement arrosés et leurs conséquences aujourd’hui constatées, non seulement sur notre santé mais aussi sur celle du monde animalier. Ce qui m’a avant tout intéressée, c’est son évolution depuis quelques années vers une viticulture dite bio avec en parallèle le choix d’être apiculteur, ou comment conjuguer ces deux passions qui sembleraient vu de l’extérieur impossible à faire chanter à l’unisson quand on sait les dégâts que l’un provoque sans équivoque. Des choix de coeur pour cet homme qui véhicule de vraies valeurs. Interview en toute honnêteté, regard d’homme sur un monde en train de muter.

⇒Pour ceux qui n’auraient pas le temps de lire mais souhaiteraient volontiers ECOUTER, RDV en bas de l’article pour L’INTEGRALITE DE L’INTERVIEW!!!

Commencer la viticulture à 14ans parce qu’on est fâché avec l’école (ou peut être bien que c’est à inverser) où l’on ne s’épanouit pas vraiment, faire le choix de marcher dans les pas de son grand père, et faire de son métier la terre. Faire une formation, apprendre au fil des saisons et à à peine 18 ans, trouver un emploi, sans avoir à chercher quoi que ce soit. Faire son parcours, aller voir ce qui se passe autour, élargir son horizon, un petit tour en Suisse à titre de comparaison. Découvrir un autre univers, où l’homme utilise les produits mais pas à tord et à travers, avec plus de raison, bon sens et compassion envers la terre.

Ne tirons pas à bout portant, sur ce que faisaient nos arrières grands, les traitements sont arrivés comme une délivrance, lâcher les chevaux et la pioche, c’était comme une nouvelle chance. La hantise était que les maladies détruisent, fallait bien protéger le végétal comme une urgence capitale. Sauf qu’à y regarder de plus près on n’a fait plus de mal qu’il n’y parait. Y a eu la grande époque, on arrosait sans équivoque, c’était un beau filon, on avançait sans la moindre précaution, avec l’idée que c’était le bien que nous faisions.

Il aurait pourtant suffi de presque rien, de calculer exactement combien, au mètre près la quantité exigée pour ne pas éparpiller du produit à l’infini et par là même, réaliser quelques économies. On a eu la main généreuse, avec le recul elle était bien malheureuse, avec ce retour d’expérience, on se demande bien quelles seront les conséquences, sur nos vieux jours si on y arrive un jour.

Ils ont un avantage les produits phyto, c’est beaucoup moins de boulot, on les balance, puis le végétal est protégé 21 jours sans qu’on y pense. Alors qu’en bio faut regarder la météo, et si une pluie s’avance il faut traiter avec une longueur d’avance, car après chaque ondée, le sol est lessivé. Parce qu’on fait comme dans le temps, on en revient au cuivre et au souffre, pour protéger le végétal avant qu’il ne souffre, de l’oïdium ou du mildiou, on applique bouille bordelaise et autres « tord le cou ». Produits non classés mais pas moins toxiques, sans « dangerosité », mais pas plus pratiques, c’est même plus de traitements mais sont pas sur les listes des produits méchants. Ce sont des produits naturels, moins onéreux dont les quantités ont une limitation annuelle, ce qui nécessite de réfléchir au mieux, c’est un peu plus compliqué mais au final plus respectueux. Bio ne veut pas forcément dire que c’est bon et beau, juste que la chimie n’a pas sa place dans ce monde nouveau. Etre en bio c’est une volonté, à travers laquelle l’homme est plus sollicité. Le challenge de la vigne c’est le travail mécanique du sol, désherber au pied, c’est là où le roundup en d’autres temps nous a sauvé.

Aujourd’hui l’agriculteur n’a plus le choix, c’est le client qui décide « quoi », le bio est la nouvelle exigence, mort aux produits phytos, les gens en ont plein de dos! On en utilise encore par ci par là, faute de pouvoir faire une totale mise au tas, mais avec intelligence, avec des machines réglées pour un maximum d’efficience pour ne pas arroser à volonté avec le seul soucis de l’efficacité. Mais là où ça pêche, c’est que l’éducation n’est pas de mèche, il n’est pas enseigné aux jeunes formés, ce soucis du matériel optimisé, ça demande un peu de calculer, ça demande un peu de s’y pencher. Vitesse, débit, pression, ce devrait être essentiel en formation, mettre tous ces éléments en symbiose pour que la terre soit moins en overdose, le ba ba pour engendrer moins de dégâts.

Il existe bien les certifications Phyto, mais entre nous ce ne sont que deux jolis mots, une autorisation pour appliquer, que personne ne vient jamais contrôler, savoir si les choses sont faites dans les règles de l’art. Au final, ce n’est pas un examen de passage juste une formalité d’usage.

Pourtant si on agissait avec bon sens, en utilisant le bon produit au bon moment, à la bonne dose et juste sur la surface utile, peut être qu’on ne serait pas aux phytos si hostiles.

Par ailleurs le lobbying des labos a bien fait son boulot, ils avaient même de très bons commerciaux, avec des chiffres d’affaires qu’il fallait certainement gros. Des invitations gentiment envoyées,  un accueil grassement enrobé, pour un labo aller visiter. Une réalité, tellement perturbante que pendant 3 jours t’as le sommeil qui déchante. Le traumatisme est né de voir ces matières actives manipulées avec le minimum d’équipement pour se protéger. Simple masque à poussière pour filtrer l’air mortifère alors que dans notre nouvelle ère on pourrait utiliser des robots pour le faire. « Etrangement » c’était pas des blancs, pas tous égaux quand il s’agit de ne pas mettre de gants.

Passer au bio par conviction, en se disant que c’ est un devoir, pour les futures générations, d’offrir une terre plus pure, c’est une énorme question pour un chef d’exploitation. Une bonne réflexion qui se traduit par 3 ans de reconversion, en commençant le travail du sol intelligemment pas en pleine saison de printemps où le végétal pousse en force et plein d’allant. Les domaines en bio ne représentent aujourd’hui que 4% mais le chiffre augmente avec le temps, les désherbants (glyphosate et cie) disparaissant chemin faisant. Des conversions qui pour certains se feront par dépit entre nous soit dit, pas moyen d’être réfractaire c’est l’avènement du prochain millénaire.

En parallèle de son intérêt pour la terre, l’homme laisse ressurgir ses souvenirs d’enfant, celui d’avoir mis les pieds à l’âge de 6ans, dans une miellerie où bourdonne la vie et laisse place à ses premiers frissons, qui par une rencontre deviennent une vraie passion. Débutée il y a une quinzaine d’années, cette activité d’abord en mode observation commence alors que la viticulture continue les phytos à vive allure. Paradoxal système….

Cette dernière occupation a finalement pris le pas sur la viticulture, et s’offre aujourd’hui une devanture. Cette insecte si fragile a la vie de nos jours plus difficile, conséquence de nos aberrations, et des traitements à profusion. Le rapport conflictuel, Viticulture vs apiculture, s’est révélé alors que cette dernière activité passait à une autre échelle, à l’élevage, à l’essaimage. Une révélation puissance dix des difficultés engendrées par les conflits d’intérêt entre ces deux activités, c’est en montant en puissance, qu’on s’aperçoit que l’impact est immense.

On a tellement bien évolué en agriculture, qu’on en vient à enrober les graines de traitement (néonicotinoïde) avant de les planter pour être surs qu’il n’y ait pas de mauvaises cultures. La toxicité va ainsi s’éparpiller dans le sol dont il mettra 4 ans à « s’évaporer » et venir nourrir les racines de cette plante…qui poussera à moitié démente. Mais remplacer ces produits par d’autres encore plus casseurs d’abeilles rend l’équation complexe. C’est une interrogation de tous les jours de se dire comment faire quand il y a une population à nourrir et à satisfaire.

Néanmoins il conviendrait à quelques uns de respecter les réglementations concernant les applications aux heures dédiées et pas n’importe quand surtout quand les abeilles vont butiner. Il conviendrait de considérer ces braves insectes comme vos alliés, puisqu’ils sont pollinisateurs, ils peuvent faire votre beurre et augmenter vos rendements de 14 à 18%, donnez vous au moins la peine d’essayer.

Quand on sait que la solution de demain, c’est de marcher main dans la main, l’agriculture bio et les abeilles qui font un beau boulot. Messieurs les agriculteurs, faites nous donc une fleur (et aux abeilles aussi tant qu’on y est!), laissez tomber vos vieilles habitudes, pour des traitements moins rudes, vous récolterez peut être un peu moins mais nous vivrons surement dans un monde un peu plus sain.

Abeille, notre avenir en toi sommeille, créature divine, depuis l’Antiquité on te dessine, dans ton dur labeur tu relies ciel et terre avec ferveur. Mouche à miel, symbole d’immortalité et de résurrection, fais nous donc revenir à la raison et retrouver le chemin de la maison, brille tel un soleil comme un pied de nez à ce monde industriel.

 

Et pour combler votre soif de CURIOSITE et votre envie de COMPRENDRE & SAVOIR, je vous invite de ce pas à CLIQUER SUR LA FLECHE ROUGE ci dessous pour écouter L’INTERVIEW podcastée de l’Olivier EN INTEGRALITE!!!

Excusez mes envolées lyriques, c’est mon côté spontané 😉

 

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Run Eco Team

Run Eco Team

Vous vous souvenez (mais si je suis sure que vous avez lu tous les articles précédents!), je vous racontais dans Le règne de la Basket que mon arrivée à San Francisco a été l’occasion de me remettre au jogging après 20 ans d’abstinence? Depuis, en décembre, par l’intermédiaire d’une amie, je tombe sur le groupe Facebook RUN ECO TEAM…et là coup de coeur. Nicolas Lemonnier, nantais, jeune osthéo, a lancé le mouvement 1RUN 1 DECHET le 05 janvier 2016 et quelques mois plus tard c’est plus de 18000 personnes qui surfent la vague RUN ECO à travers le monde.

J’ai donc joint l’utile à l’agréable, je nettoie la planète quand je cours ou quand je marche et c’est toujours aussi déconcertant de voir la quantité de détritus que l’on peut collecter en très peu de temps.

Sur ce, j’ai pris l’initiative d’acheter le tee shirt RUN ECO TEAM pour communiquer sur ce mouvement fort intelligent et faire des émules. Certains te remercient, d’autres te jettent des regards de travers mais ton attitude ce remarque, c’est l’essentiel! Le but étant de semer des graines dans les esprits, reste plus qu’à les faire germer…

Et pour cela Nicolas Lemonnier et ses bras droits (il en a plusieurs, c’est pratique pour ramasser beaucoup de déchets), lance le 12 Mars prochain un mouvement d’ampleur internationale afin qu’un maximum de personnes rejoigne cette belle initiative purement fondée sur le bénévolat, la bonne volonté et le bon sens.

Avec mon beau tee-shirt sous le bras, voilà que Nicolas me demande si je veux bien être ambassadrice pour San Francisco….Soyons fous!

Je vous attends runners and runneuses, hommes, femmes, enfants, en courant ou en marchant…peu importe, l’union fait la force, n’est ce pas?

Rejoignez moi à 10H dans les gradins du terrain de Base ball du Golden Gate Park, nous partirons bras dessus, bras dessous, sac à la main, « chaussés » de gants pour nettoyer, collecter, ramasser. N’oubliez pas le pique nique, ce sera notre belle récompense : déjeuner tous ensemble sous le soleil de Frisco sur la plage ultra propre d’Ocean Beach!

Et si on réalisait le rêve de Nicolas? Un RUN un Waste…on a tous à y gagner.

♥♥♥

Source: Photo à la Une, Merci Thomas Pesquet !

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Définitivement GREEN

Définitivement GREEN

Vous vous souvenez, l’autre jour je voulais vous prouver que « vos solutions sont parfois pires que vos problèmes ».

J’en parlais encore ce matin avec deux charmantes demoiselles, s’il vous plait, lisez les étiquettes des cosmétiques (et pas que) que vous achetez! Je vous en remets une couche…Agissez avec sobriété, E-PU-REZ.

Je cherchais il y a peu une crème pour les mains pour ma fille, je me rends donc dans un store que nous connaissons tous bien ici à SF et commence à regarder les produits en rayon. Que vois-je sur la liste des composants? du petrolatum, ça parait mignon vu de loin mais rien que le nom me fait mal aux oreilles. Ni une ni deux, un petit tour sur le web, je vais sur le premier site proposé qui n’est autre que celui d’un scientifique, environnementaliste, qui possède une renommée internationale pour ses 30 années de travail à titre de communicateur et de vulgarisateur scientifique….et la sanction est claire « produit toxique ».

J’ai fini par opter pour un produit qui me semblait de loin le plus naturel, à base d’huile d’amande, de lait et de cire d’abeilles…ahhhhh les abeilles, mes chères bees, mes chères amies (ce sera pour un autre sujet!). A 99,9% naturel, vous noterez qu’il y est aussi précisé que les « fragrances » (parfums) sont naturels et non synthétiques.

Vous pouvez aussi faire vos produits vous même, tel que vous le montre mon amie la Bee, Véronique...c’est encore mieux, c’est ni plus ni moins de la cuisine Mesdames, Messieurs 🙂

Donc par pitié, préservez votre capitale beauté et santé par la même occasion, avec des produits sobrement issus de la nature et non de la pétrochimie! La nature vous le rendra au centuple. Favorisez les huiles végétales, les eaux florales, et misez sur la qualité biologique. J’en profite pour vous présenter une « copine » qui pense comme moi, ça tombe bien!

J’avais eu également la chance de rencontrer lors d’une journée de Mademoiselle Violette, Audrey Bertry créatrice de la marque SYLLEPSE COSMETICS. J’avais apprécié son côté très pro, la pertinence de ses conseils sans vouloir à tout prix te pousser à la consommation. Une enseigne qui si je ne trompe produit ses cosmétiques au coeur des Landes. Soyons solidaires et encourageons ces femmes, qui nous ouvrent les portes d’une nouvelle façon d’agir.

Certains d’entre vous diront que je ne suis ni scientifique ou spécialiste et que je ne sais pas de quoi je parle, il n’empêche, que j’ai n’ai pas l’intention de faire l’autruche. J’ai des convictions, je sais lire, j’ai été une grande allergique, je suis passée aussi par une leucémie aiguë à 19ans, dont j’ai été sauvée in extrémis par un traitement chimique venant des US (Quelle ironie!) pour lequel j’ai servi de cobaye. Ce qui a eu le mérite d’éveiller en moi quelques questions…et j’ai appris chemin faisant que me rapprocher au plus près de la nature, c’est ce que nous avons de mieux à faire.

J’ai eu également la chance dernièrement de croiser la route de Sloan Barnett, dont je me suis mise à lire le livre « Green Goes with everything », écrit en 2008. Bien m’en a pris. Comme c’est un sujet qui me tient à coeur, je me dis qu’on ne s’est pas rencontrées par hasard…à moins que le hasard fasse bien les choses!

Bien dommage qu’il ne soit pas traduit en français mais j’invite toutes celles et ceux qui maitrisent l’anglais à en faire la lecture. Pour la petit histoire Sloan Barnett découvre subitement que son fils âgé alors de 3 ans, en insuffisance respiratoire, souffre d’asthme. Après avoir remonté leur arbre généalogique sur 4 générations, il s’avère qu’il n’y a jamais eu d’asthme dans la famille et que le problème est donc environnemental. Elle découvre donc que l’ennemi n’est pas dehors mais à l’intérieur de nos maisons, dans tous les produits d’entretien pour la maison, pour le corps, dans l’alimentation…partout. Nous sommes cernés!

Elle est allée jusqu’à se faire faire une analyse de sang pour y révéler les substances toxiques. Il s’avère que les résultats dévoilent la présence de pesticides organochlorés à un dosage supérieur à la moyenne, des phtalates (cancérigènes), du triclosan , du PCB  ou pour la version longue : polychlorobiphényles à haute dose comparé à la moyenne et pourtant banni il y a plus de 30 ans!!!

Bref on trinque aujourd’hui pour nos erreurs actuelles et passées qui pour certaines persistent et ont la peau dure. Rien de surprenant de se retrouver avec tout un tas de maladies qui nous semblent parfois tombées du ciel!

Sans vouloir être alarmiste, revenons-en simplement aux astuces de nos grands-mères, vinaigre blanc, citron, bicarbonate, argile, … et j’en passe.

Parce qu’il s’avère également que la toxicité des produits est parfois amplifiée par l’usage que l’on en fait, la chaleur du lave vaisselle, la chaleur de la douche…bref on deviendrait presque notre propre ennemi.

Dis donc Madame Barnett, vous qui parlez un si bon français, je viendrai bien vous interviewer…je suis sûre que vous auriez plein de choses à nous dire. En attendant cette potentielle rencontre, protégez vos enfants et vous bien évidemment.

Moi je vous dis tout ça, je dis rien…c’est vous qui voyez, y en a qu’ont essayé (les produits toxiques), ils ont eu des problèmes!

 

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Circulez à San Francisco en mode éco!

Circulez à San Francisco en mode éco!

CIRCULER

en mode ECOlogique et ECOnomique

MUNI:

Réseau Bus-Métro-Tram

Première chose à faire : télécharger l’application pour avoir toutes les lignes, trajets, horaires à portée de main.

2,50$ le ticket adulte, 1,25$ le ticket enfant jusqu’à 18 ans, validité 90min (…enfin l’heure indiquée sur le ticket quand vous l’achetez auprès du chauffeur, c’est parfois beaucoup plus large). Attention à toujours avoir l’appoint, le chauffeur ne fait pas la monnaie.

Pensez au Pass pour les touristes de passage et à l’abonnement pour les résidents, avec la Clipper Card (que vous pouvez acheter dans un Wallgreens par exemple et que vous chargez d’un certain montant à l’achat, ensuite à vous d’aller régulièrement sur le site en ligne pour la recharge ou de cocher la case recharge automatique dès que vous atteignez le seuil de 10$, c’est hyper pratique, vous n’avez plus à vous soucier de rien.

Quelques petits trucs quand vous êtes sur les quais ou que vous regardez votre application:

INBAND correspond aux sens de la ligne qui vous emmène dans le Centre « IN »

OUTBAND va donc vous sortir du centre ville soit « OUT »

Le cable car, c’est sympa une fois mais c’est vraiment pour les touristes et en plus ça coûte cher!

GETAROUND ou ZIPCAR:

Vous n’avez pas de voiture? Vous en avez besoin pour partir en week-end, aller faire les courses, vous pouvez louer celle du voisin, c’est le principe de la mutualisation intelligente. C’est ultra facile! le système (Téléchargez les appli) trouve la voiture la plus proche de chez vous ou du lieu où vous êtes et vous n’avez plus qu’à vous servir, les clés sont dessus! Les prix sont très raisonnables, assurance comprise. Aucun engagement ne vous sera demandé.

Notre expérience: Attention pour Getaround, le téléchargement de votre permis de conduire français demande au moins 48h, donc ne vous y prenez pas à la dernière minute, comme nous !

UBER :

Je sais que ça a fait un tollé en France, mais ici Uber, est partout et comme dirait mon Homme, Uber c’est: « Cheaper Faster Cleaner »

Cheaper parce que certaines courses sont beaucoup moins chères qu’en taxi

Faster parce que vous avez un véhicule à vos pieds parfois en moins de 5mn

Cleaner parce que vous pouvez faire du Uber pool …c’est à dire covoiturer ce que vous ne faites pas non plus quand vous prenez un taxi

Téléchargez l’appli (oui ici on est très appli, vous en avez l’utilité pour pas mal de choses), c’est toujours pratique. Sachez que certains Uber font cette activité à plein temps, alors que pour d’autres c’est un revenu d’appoint géré en temps voulu.

Allez, en voiture Simone!

 

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